Thérapie individuelle

55 €/séance
  • Enfants, adolescents, adultes
  • Lieu : en cabinet ou en téléconsultation
  • Fréquence : elle sera à définir lors du premier rendez-vous en fonction de la problématique
  • Durée : 45 minutes

Séance de psychogénéalogie

55 €/séance
  • Adultes
  • Lieu : en cabinet
  • Fréquence : elle sera à définir lors du premier rendez-vous en fonction de la problématique
  • Durée : 45 minutes

Séance de guidance parentale

55 €/séance
  • Adultes
  • Lieu : en cabinet ou en téléconsultation
  • Fréquence : elle sera à définir lors du premier rendez-vous en fonction de la problématique
  • Durée : 45 minutes

Ces tarifs comprennent le temps de consultation ainsi que le temps de reprise de dossier, de rédaction de compte-rendu, de recherches scientifiques et de formation en lien avec l’amélioration des compétences.

Modalités de Paiement

Au cabinet, le paiement des consultations seffectue, après chaque séance, soit par chèque soit en espèces (pas de CB).

Pour les téléconsultations, le paiement des séances seffectue en amont par virement bancaire.

Si nécessaire une note dhonoraire peut vous être fournie pour chacune de vos séances, afin deffectuer vos remboursements auprès de votre mutuelle. En effet, certaines mutuelles prennent en charge des séances chez un psychologue. Renseignez-vous !

Retards et Annulations

Je prends soin de recevoir chacun de mes patients à lheure du rendez-vous et chaque séance se termine à lheure prévue. En cas de retard de la part dun patient, la séance ne peut pas être prolongée en compensation.

En cas dannulation ou de demande de déplacement dun rendez-vous, je demande à être prévenue 48h à lavance sur les jours ouvrables. En-deçà de ces 48h, le règlement de la consultation sera dû. Merci de votre compréhension !

Pour répondre à toutes vos questions …

Il existe de nombreux « psy » et il est parfois difficile de faire la différence et de savoir vers qui se rendre en fonction de sa problématique. Alors quelles sont les différences entre tous ces psy ? Qui consulter ? Que choisir ? Je vous propose de faire un point sur leurs différences pour vous aider dans le choix de votre praticien :

Le psychiatre : le psychiatre est un médecin qui a effectué une spécialisation en psychiatrie. Il est donc enregistré auprès de l’Ordre des médecins. C’est le seul professionnel à pouvoir prescrire des médicaments comme les antidépresseurs ou les anxiolytiques. Certains psychiatres sont formés pour pratiquer la psychothérapie mais ils restent les seuls habilités à poser un diagnostic à partir des symptômes que le patient décrit. Le travail du psychiatre va souvent de pair avec le travail du psychologue qui lui prend en charge la psychothérapie.
Les consultations chez un psychiatre font l’objet d’un remboursement (au moins partiel) de la part de la CPAM.
Il peut avoir une activité en libérale (cabinet) et/ou en institution.

Le psychologue : le psychologue a suivi une formation universitaire d’au moins 5 ans dans le domaine de la psychologie (clinique, développement, du travail, social …). Le titre de psychologue est donc protégé et réglementé par la validation d’un cursus universitaire complet en psychologie (licence + Master 2). Le psychologue est tenu d’enregistrer ses diplômes auprès de l’ARS de son département d’exercice sur la liste ADELI et il doit se soumettre au Code de déontologie des Psychologues. Par l’obtention du titre de psychologue, il obtient également le titre de psychothérapeute qui est l’essence même de sa profession. C’est auprès de lui qu’un travail psychothérapeutique peut se faire. L’essence du travail de psychologue clinicien est de comprendre les difficultés affectives, sociales et familiales qui entravent notre quotidien mais également les angoisses, les troubles comportementaux ou psychiques (dépression, TOCS, phobies, TSA, etc.). Il peut avoir une activité en libérale (cabinet) et/ou en institution.
Il peut avoir une activité en libérale (cabinet) et/ou en institution. N’étant pas médecin, aucun psychologue ne pourra vous prescrire un traitement médicamenteux. Ses consultations ne sont pas prises en charge par la CPAM, mais sont couvertes par certaines mutuelles.

Le psychothérapeute : La définition de psychothérapeute est assez proche de celle des psychologues. Le psychothérapeute, par définition, pratique la psychothérapie. Depuis le décret n°2010-534 du 20 mai 2010, le titre de psychothérapeute est protégé. Pour pouvoir prétendre exercer en tant que psychothérapeute, il est nécessaire de suivre une formation en Master 2 de psychologie ou psychanalyse, ainsi qu’une formation complémentaire en psychopathologie suivie d’un stage.
Le psychothérapeute doit par ailleurs être inscrit à l’ARS (Agence Régionale de Santé) qui délivre un numéro ADELI.
Les psychiatres peuvent être psychothérapeute s’il justifie d’un nombre d’heures de formation théorique et pratique en psychothérapie. Le psychologue est psychothérapeute s’il a effectué un nombre d’heures suffisant de pratique clinique durant son cursus initial accompagné d’une formation théorique en psychopathologie. Ses consultations ne sont pas prises en charge par la CPAM.
Le psychothérapeute n'exerce qu'en libéral.

Le psychanalyste : il n’est pas forcément psychiatre, ni psychologue. Le psychanalyste a reçu une longue formation théorique dispensée par les Sociétés de Psychanalyse. Le psychanalyste se distingue essentiellement du psychiatre et du psychologue par son parcours personnel. En effet le psychanalyste, contrairement au psychiatre ou au psychologue, a lui-même fait un long travail personnel en analyse pendant au moins 5 ans à raison d’au moins 3 séances par semaine. C’est à partir de son propre vécu de la psychanalyse, qu’il est amené à pouvoir accompagner lui-même des personnes en tant qu’analysant.
La particularité de la psychanalyste est qu'elle se réalise allongée, ainsi le sujet "s'allonge sur le divan". Cette manière permet de ne pas se laisser envahir par le regard de l'autre, donc du psychanalyste, pour laisser exprimer toute sa pensée.
Le psychanalyste n'exerce qu'en libéral. Ses consultations ne sont pas prises en charge par la CPAM et le psychanalyste ne peut pas prescrire de médicaments.

Il est important d’ajouter que certains titres comme « psychopraticien », « psychosomatologue », « parapsychologue » … n’existent pas. Ils ne sont ni protégés ni reconnus par l’Etat. Soyez donc vigilant !

Il est important de se sentir bien dans son accompagnement psychologique. Je vous présente quelques conseils pour vous aider à vous engager dans un accompagnement adapté :

- Posez autant de questions que vous le souhaitez : les orientations théoriques, les outils, les honoraires ... il n’y a pas de mauvaise question !
- N’hésitez pas à consulter plusieurs psychologues pour trouver celui/celle avec qui vous serez vraiment à l’aise pour partager une partie de votre intimité.

Dans le cadre thérapeutique, le psychologue écoute et s’adresse à la personne selon des repères différents du cadre amical ou familial. Une psychothérapie n'est pas une conversation engagée pour le plaisir. Les échanges entre le psychologue et la personne en thérapie sont orientés et visent des objectifs précis : le psychologue possède une manière bien particulière d’entendre vos propos, de mettre en sens ce que vous lui dites et de vous répondre. Vous n’aurez jamais l’appréhension qu’il soit dans le jugement car il a été formé à recevoir ce que vous lui amenez sans jamais projeter ni ses propres affects, ni ses propres valeurs sur votre personne.

L’accompagnement du psychologue permet donc de se découvrir à partir d’une autre perspective dans la relation thérapeutique. C’est se donner la possibilité de trouver des aspects de sa personnalité ou de sa situation qui deviennent alors pensables, appréhendables.

Ce n’est pas un manque d’intérêt envers le patient ! Mais ne pas parler de soi fait partie du cadre thérapeutique de la séance avec le psychologue. Sa vie personnelle et/ou son histoire doit le moins possible empêcher, perturber ce qui pourrait être déployé en séance par le patient. Les échanges se déploient lors de la séance à partir de ce que vous pouvez amener.

Le stéréotype de « l’analyse sans fin » est dans tous les esprits, mais dans les faits, les psychothérapies longues (plusieurs années) sont rares sauf en psychanalyse.

Cependant, notre construction psychique s’est effectuée pendant des années, en engendrant tous ces nœuds qui nous oppressent et nous empêchent d’être pleinement nous-mêmes aujourd’hui. Défaire ces nœuds inconscients peut prendre un certain temps … C’est un processus de maturation, qui demande patience et surtout respect de notre propre rythme de vie. Les changements d'habitude concernant des réflexes anxieux, des obsessions, des peurs, des replis sur soi, face aux situations de la vie quotidienne demandent un minimum de temps. La prise en compte de la complexité d’une personne ne peut pas se faire en une séance et selon la situation de chacun, cela peut prendre quelques semaines à quelques années.

Il est souvent difficile pour le psychologue de vous donner un délai précis dès le début du suivi. En moyenne, une période de quelques mois à un an est généralement suffisante pour obtenir des résultats satisfaisants.

Mais dans tous les cas, la durée du travail vous appartient et vous n’avez aucune obligation d’engagement sur la durée. Ainsi, vous pouvez vous arrêter quand vous n’en ressentez plus le besoin ou simplement espacer les séances pour vous donner le temps de la réflexion.

En tant que patient, vous êtes totalement libre d’interrompre la psychothérapie, quand vous le souhaitez. Il faudra bien entendu en parler avec votre psychologue qui pourra vous donner son avis sur ce choix.

Vos droits sont bien entendu protégés lorsque vous consultez un psychologue. Tous les psychologues se soumettent aux règles professionnelles définies par le Code de déontologie du Psychologue. Ce dernier pose le principe général des droits de la personne et la préservation de sa vie privée en garantissant notamment le secret professionnel.

Cela signifie que le psychologue ayant des informations sur un patient ne doit pas les communiquer à d’autres personnes. Les seules situations où le secret médical peut être partagé ou levé est lorsque le patient est susceptible de mettre sa vie en danger ou celle d’autrui.

Il n’y a pas de bon ou de mauvais moment. Que ce soit un besoin, un doute, une peur, une hésitation, un certain degré de souffrance, de stress, de malaise ou d’isolement, la réponse à cette question est personnelle.La question en elle-même indique que la démarche d’aller voir un psychologue pourrait être utile voire nécessaire.

Vous pouvez contacter votre psychologue pour faire le point ensemble sur ce que vous ressentez et de mettre en place si besoin un suivi. Accepter d’être aidé est une première étape importante d’une psychothérapie.

Les « psy » sont encore souvent associés à la psychiatrie et à la peur que peut provoquer l’idée de la folie. Cette peur est restée, encore beaucoup en France, dans l’imaginaire collectif. A contrario, dans certains pays, il est presque anormal de ne pas avoir son psy !

Il y a de multiples raisons aujourd’hui pour aller consulter un psychologue (Consultez la page "Pourquoi consulter") sans pour autant signifier qu’il s’agisse d’une psychopathologie grave : nous sommes tous des personnes « normales » et simplement humaines. Les facteurs qui nous poussent à vous démarrer une psychothérapie sont variés : se questionner sur leur relation aux autres, sur son positionnement dans la vie, sur sa carrière professionnelle, des angoisses, de l’anxiété ou encore du stress provoqué par certains événements de la vie difficiles à surmonter …

Autant de situations qui peuvent constituer des séismes émotionnels qui ébranlent notre personnalité, aussi solide soit-elle. En somme, il n’y a pas de prérequis pour aller chez le psy. Si le fait de s’interroger sur soi et son mode de fonctionnement sont des mouvements sains, alors aller consulter un psy est plutôt un signe de bonne santé mentale.

Il est tentant de se renseigner sur nos symptômes en parcourant des livres sur le sujet ou en allant piocher des informations sur Internet. Mais lorsque l’on s’auto diagnostique, on aborde une vision “intellectuelle” de ce qui nous arrive et surtout, on a tendance à occulter ce qui nous dérange. Le spécialiste et notamment les psychiatres sont là pour poser un vrai diagnostic et d’établir avec vous un projet de soin.

Oui ! Surtout si l’on s’y investit aussi !

Le coût d’une séance chez le psychologue n’est pas remboursé et peut représenter un budget mais cela ne doit pas être sacrificiel. Cependant, il est important de souligner que c’est vous qui évaluez la valeur que vous attribuez à votre santé et à votre bien-être.

Le travail psychothérapeutique est un investissement à long terme dans un « mieux être ». Peut-être cela vaut-il le coup de renoncer pour un temps à des choses vous apportant des bénéfices immédiats mais temporaires pour investir sur vous (en argent, certes, mais aussi en temps, en engagement personnel…) et récolter de réelles améliorations de vie sur le long terme.

L'inscription au répertoire ADELI est un système d’information national relatif aux professionnels relevant du code de la santé publique, du code de l’action sociale et aux personnes autorisées à faire usage de titres tels que : psychologue, psychothérapeute, ostéopathe et chiropracteur. Il contient des informations telles que : état-civil, titres/diplômes, situation professionnelle, activités exercées, CPS. Un numéro ADELI est attribué à tous les praticiens salariés ou libéraux et leur sert de numéro de référence.

L’enregistrement des psychologues et des psychothérapeutes se fait à l’Agence Régionale de la Santé du département. L’ARS du Vaucluse est joignable en téléphonant au 04 13 55 85 82 ou en écrivant à l’adresse suivante : ars-paca-dt84-professionnel-sante@ars.sante.fr

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